DEPENSES DE SANTE, le trou, des avantages?
J’ai eu l’occasion de citer plusieurs fois la pensée de Le Pen, l’autre, c'est-à-dire l’économiste de santé, universitaire enseignant à Paris Dauphine. Il évoquait l’autre jour à la télé le déficit de la sécurité Sociale toutes branches confondues bien sûr : maladie, retraite et social.
Cet économiste nous plait car il examine ce déficit par l’autre bout de la lorgnette,
Régis Ayats et Jean Marie Ranvier
c'est-à-dire que celui-ci renfloué par l’état pourrait devenir un facteur de relance.
20 milliards certes me direz-vous, mais quand même il faut savoir que la santé représente 8 à 10% de notre Produit Intérieur Brut (PIB), donc participe au développement économique.
Il faut de toute manière il est vrai maitriser les dérives de dépenses de santé par des contrôles qu’il faudrait mettre en place de manière systématique et proportionnelle au déficit. Sans cela nous pend au nez la mise en place d’un ticket modérateur non remboursé ni par les caisses ni par les assurances.
N’en déplaise, il faudrait rendre à la Sécurité Sociales les taxes qui lui reviennent de droit : alcool, tabac, industries polluantes, partie de la TIPP er partie des taxes EDF pour la part des centrales nucléaires.
En savoit plus: Un trou à la Sécu?
http://www.udf34commsante.over-blog.com
Docteur Régis AYATS UC34